Fanfic : le ciel de nos yeux.

Par ennuis je vais ptet faire une ch'tite histoire... Que je ne continuerais peut être pas...
Je l'ai écrite en écoutant sa =} https://www.youtube.com/watch?v=AOaBnjFAXf4

Alors que dans la plaine rouge, le soleil couchant, cachant les cadavres d'une peur écœurante, je respirais à peine, la peur me serrait le cœur. Un large stress faisait de la lame rouge sous mon cou, un glacier immortel, non, je ne voulais pas mourir, je tenais le sabre de mon père, le collier de mon amour... Le bracelet de ma mère, et l'assassin de mes parents devant moi, ricanant... Une fine l'arme de désespoir tomba, ma main, lâchant doucement le sabre doré tout en fermant mes yeux. Mes cheveux violets volaient dans le vent étouffant du champ à présent noir...Ma face pleurante percuta le sol, mes yeux fermé, je rêvais de tous mes amis, tous ceux que j'abandonnais, puis un cri s'éleva... j'hurlais le coup de pied qui enfonça mon corps dans la masse semi-liquide. J'avalais une bonne quantité de boue sanglante... et ma vie s'éteignis, mon armure sombrât sous les flots de ténèbres envahissant ce qui fut... ma terre natale...
Sur le réveille orangé, je me retrouvais, face à des sourire joyeux, et une mine noire, au fond de la salle, on garçon aux cheveux noir, aux yeux d'une épaisseur ténébreuse, d'une couche d'une envie qui me fis hurler de peur, je n'étais que là, un pauvre bébé, ne se souvenant pas de ma vie passée. Avant de pouvoir arriver ici, mon âme errait dans les ténèbres, accompagnant celles des autres combattant, haïssant le clan ennemi, se craquelant aux cris de veuves, des enfants et des animaux... Des milliers d'âmes bougeaient autours de moi, je n'étais que cette masse que je ne sentais même pas exister. Mes yeux bleu étais plus étincelant que jamais, quand je vis mon retour sur terre arriver. Combien de temps avais-je chevauché ces courants de mort? De ténèbres étouffantes qui me rappelaient la boue pleine de sang, le corps de mon frère à mes côtés, mes cheveux volants, tout en hurlant le nom de mon assassin, dont je me souviens même plus de son visage écœurant, ses bras forts, qui, après ma mort, m'arracha mon cœur, bouillant d'amour et de haine...
Je m'endormis sous le regard de parents heureux, et d'un garçon qui m'inspirait que la mort...
Lors de mes 14 ans...
Un nouveau cri s'éleva dans les airs, j'étais dans un magasin, au magasin aussi vieux et dégoûtant, que les objets d'antiquité qu'y s'y stoquait, le garçon m'accrochais, je venais de tout apprendre... tout... même que j'allai enfin pour voir réaliser ce que jamais dans mes autres vies je n'avais réussis...
[On change de zik ^^ =} https://www.youtube.com/watch?v=cfEkvo6wkI8&feature=related ]
Revenons quatre ans en arrière, lors de mes dix ans...
Un gâteau flambais de dix lucioles rouges, mon souffle soufflais sur l'étendue gelée, bien que tiède. A bout de souffle, une de ces dix lanternes multicolores brillait doucement... Puis en un deuxième souffle coure et net, je fini la dernière des dix bougies du gâteau. Un anniversaire comme les autres, avec des amis, des amis disant su mal de vous derrière votre dos et qui profite de votre gentillesse. Moi, stupide créature, je croyais être aimé, mais mes cheveux violets naturel, mes yeux d'une lueur étrange, et la marque qui scintillais à la lueur du soleil étouffant nos rires, me faisais d'une personne comme une louve solitaire. Une marque de naissance d'une teinte argentée. Mes parents voulaient m'aimer, mais ce n'était pas facile, surtout avec le garçon ténébreux, toujours tapis dans l'ombre, au fond de la pièce chaleureuse. Ses yeux étaient aussi étranges que les miens, il me regardai toujours d'une manière lugubre, une aura morbide sortais de son esprit, et cela me dérangeais beaucoup, je n'ai jamais, entendu le son de sa voix, que j'imagine, aussi noire que son apparence...
La fête se fini sur l'ouverture des cadeaux, je reçus de multiples merveilles, et pour la première fois, le jeune garçon plus âgé que moi, se retira de l'épaisseur ténébreuse qu'étais sa couverture de velours. Il tenait une fine boite entouré d'un velours rouge, il me regardait droit dans les yeux, j'ai peur, une goutte de panique galopa sur ma tempe, ses yeux d'une attirance monstre m'attira vers lui, son teint si pâle en dehors de la noirceur de son habitat brillais au soleil qui lui fis fermer à demis les yeux, mon cœur bâtis d'un coup monstre, il s'arrêta devant moi, me regardant un peu de haut, puis, d'un léger geste presque inaperçu, il déposa la douce boîte dans mes mains. Lors de cette action, tout le monde l'observais, sans un mot, laissant le mystère envahir la pièce étouffante, le velours caressais mes doigts d'une douceur qui m’émerveilla. Je me sentis encore plus attiré vers cet étrange personnage, je le sentis si proche de moi, que j'ouvris des yeux ronds, laissant la lumière pénétrer et faire briller mon humeur aqueuse. Il baissa ses yeux si mystérieux et étranges, il approcha ses lèvres de mon oreille, puis il ouvrit doucement ses lèvres pâles, et d'un fin souffle, il me lança un mot, un seul, personne ne l'entendis, sauf mon cœur qui battis, il battais, d'un amour, non, d'un sentiment qu'un mortel ne connaîtrais pas, un sentiments, qui me fis revivre un passé, un présent, et un futur... Sa voix, étais si chaude, si chaleureuse, avec de la solitude et de la tristesse, une voix, si fine et claire, étouffé par la solitude qui avais scellé ces lèvres si douces a mes pensée. Et ce mot, ce mot qui me fis vivre tout cela, ce mot qui est :
[ https://www.youtube.com/watch?v=4cHK9Wt32jo&feature=related ]
-Soeur...
Et sa voix si chaude sur ce visage ténébreux s'éteignit, la salle semblait s'éteindre, je ne sentais plus aucune autres présence que celle de nous deux, et je le voyais repartir dans son coin de ténèbres Je m'étais trompée, je souris et murmura, les yeux brillant dans cette lumière où je me trouvais :
-Merci.
Pour la première fois je crois, j'ai ressenti cet être étrange comme mon frère dont l'aura morbide était resté dans les enfers noirs pour laisser place à une âme étrangement délicate et douce. Ma mère me sortit de ce rêve dont je restais souriante depuis un moment déjà, sa main sur ma petite épaule, d'une voix moins douce pour cette personne amicale me fis regretter de devoir laisser ce moment présent, et de le considérer comme passé. Sous cette pensée, j'alla vers le gâteau et les autres invités qui riaient et qui avaient oublié cet acte si impressionnant. Mais je sentais cette tension passer entre les esprits, cette tension de peur et d'étonnement.
Le soir, tenant la boîte dans ma main, laissant les ronflements graves de mon père monter comme un avion vers les nuages, la lumière de la télévision s'éteindre pour laisser place à la nuit qui redonnera des forces pour recommencer une journée ordinaire. Sortant ma lampe de poche et allumant ce faisceau blanc, la pièce s'alluma légèrement créant plusieurs coins ténébreux, et d'autres lumineux. Je m'assis doucement sur mon lit, les jambes croisées, la boîte de velours s'ouvrant sous la légère pression de mes doigts. Une légère lumière bleuâtre sortit du mini coffret rouge. Cette lueur m'avait aveugler, et laissant mes yeux s'habituer à cette lumière féerique qui supprimait une bonne partie des ténèbres environnantes, je découvrit un objet merveilleux, qui m'apporta les larmes, cet objet dont un souvenir d'amour me revint, sans savoir d'où il venait, je serais l'objet délicatement contre ma poitrine. Cet objet étant...

ok ^^ je te fait confiance pour le lire un jour ^^